Phil, a weatherman, is out to cover the annual emergence of the groundhog from its hole. He gets caught in a blizzard that he didn't predict and finds himself trapped in a time warp. He is doomed to relive the same day over and over again until he gets it right.
Un jour sans fin n’est pas qu’une petite comédie sentimentale et anodine à la morale naïve. Les solutions qu’adopte le réalisateur pour éviter la répétition fastidieuse de chaque journée, sa manière d’accélérer les événements, d’anticiper les coups de théâtre, de mettre en scène les gags, font du film un catalogue raisonné et réjouissant des mille et un procédés de narration du cinéma moderne.
(Jean-Luc Macia, La Croix, juillet 1993)
Phil est bloqué dans l'espace-temps. La vraie marmotte de l'histoire, c'est Phil, endormi depuis des lustres par son autosuffisance dans une existence monotone et grise. L'expérience insolite qu'il traverse le fait passer de l'angoisse à l'amusement, de la colère à la folie, de l'envie de mourir à l'envie de vivre, enfin, vraiment. Conte philosophique, Un jour sans fin renoue avec la grande comédie américaine. Autour de Bill Murray et Andie MacDowell, tous deux magnifiques, les seconds rôles sont remarquables.
(Isabelle Danel, Télérama, 1992)
- Interprétation
- Bill Murray, Andie MacDowell, Chris Elliott, Stephen Tobolowsky
- Scénario
- Danny Rubin, Harold Ramis
- Photographie
- John Bailey
- Montage
- Pembroke J. Herring
- Musique
- George Fenton
- Décors
- Karen Fletcher-Trujillo, Lisa Fischer
- Production
- Columbia Pictures